Titre : |
Les cendres de Pompéi : Journal de Briséis an 79 |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Christine Féret-Fleury, Auteur |
Editeur : |
Gallimard Jeunesse, 2010 |
Collection : |
Mon histoire, ISSN 1774-3478 |
Description : |
137 p. |
ISBN/ISSN : |
978-2-07-062807-0 |
Prix : |
8,50 |
Résumé : |
" Samedi 23 avril. En sortant chercher de l'eau, ce matin, j'ai trouvé devant la porte un oiseau mort, le bec grand ouvert. - C'est le manque d'air, a dit Martia. Les pauvres, c'est à peine s'ils peuvent voler. Un vrai temps de tremblement de terre ! Les femmes, à la fontaine, répétaient les ' mêmes mots: "Un temps de tremblement de terre ! Pas une vague dans le port, pas un souffle de vent. " Elles riaient. Personne, à Pompéi, ne redoute les secousses de la terre - elle tremble si souvent ! Et depuis dix-sept ans, aucune maison ne s'est effondrée." |
Thème de fiction : |
Antiquité/histoire |
Nature du document : |
fiction |
Genre : |
journal/roman |
Les cendres de Pompéi : Journal de Briséis an 79 [texte imprimé] / Christine Féret-Fleury, Auteur . - Gallimard Jeunesse, 2010 . - 137 p.. - ( Mon histoire, ISSN 1774-3478) . ISBN : 978-2-07-062807-0 : 8,50
Résumé : |
" Samedi 23 avril. En sortant chercher de l'eau, ce matin, j'ai trouvé devant la porte un oiseau mort, le bec grand ouvert. - C'est le manque d'air, a dit Martia. Les pauvres, c'est à peine s'ils peuvent voler. Un vrai temps de tremblement de terre ! Les femmes, à la fontaine, répétaient les ' mêmes mots: "Un temps de tremblement de terre ! Pas une vague dans le port, pas un souffle de vent. " Elles riaient. Personne, à Pompéi, ne redoute les secousses de la terre - elle tremble si souvent ! Et depuis dix-sept ans, aucune maison ne s'est effondrée." |
Thème de fiction : |
Antiquité/histoire |
Nature du document : |
fiction |
Genre : |
journal/roman |
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Les cendres de Pompéi : Journal de Briséis an 79
de Christine Féret-Fleury
Gallimard Jeunesse, 2010, 137 p. (Mon histoire)
" Samedi 23 avril. En sortant chercher de l'eau, ce matin, j'ai trouvé devant la porte un oiseau mort, le bec grand ouvert. - C'est le manque d'air, a dit Martia. Les pauvres, c'est à peine s'ils peuvent voler. Un vrai temps de tremblement de terre ! Les femmes, à la fontaine, répétaient les ' mêmes mots: "Un temps de tremblement de terre ! Pas une vague dans le port, pas un souffle de vent. " Elles riaient. Personne, à Pompéi, ne redoute les secousses de la terre - elle tremble si souvent ! Et depuis dix-sept ans, aucune maison ne s'est effondrée."
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Féret-Fleury Christine.
Les cendres de Pompéi : Journal de Briséis an 79.
Gallimard Jeunesse, 2010, 137 p.
(Mon histoire).
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