Titre : |
Des enfants au dix-neuvième siècle |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Karine Delobbe, Auteur |
Editeur : |
PEMF, 2000 |
Collection : |
Bonjour l'Histoire |
Description : |
33 p. : ill. |
Descripteurs : |
Thesaurus n°1 2115 organisation de l'enseignement:organisation de l'enseignement / 2305 démographie et population:démographie:caractéristique démographique:classe d'âge / 2305 démographie et population:démographie:caractéristique démographique:classe d'âge:enfance / 2310 comportement social - vie sociale:vie sociale:condition sociale:condition de l'enfant / 2330 histoire:histoire:période moderne et contemporaine:époque contemporaine / 2330 histoire:histoire:période moderne et contemporaine:époque contemporaine:19e siècle
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Résumé : |
La Révolution française pose le principe de la prise en charge par la nation de l'éducation et de la protection de l'enfant. Mais les mesures prises sont sans effet. La Première République honore des enfants parmis ses héros. Le Code civil fonde la famille sur la toute-puissance paternelle, ce qui marque un retour à la tradition. Le dix-neuvième siècle est fortement marqué par la Révolution industrielle et la montée de la bourgeoisie. Si à la campagne la vie des enfants change lentement, il n'en est pas de même en ville. De grandes différences existent entres familles bourgeoises et familles ouvrières. Au sein des premières, l'enfant jouit d'un cadre matériel favorable ; aimé, voir choyé par les siens, il apprend les "bonnes manières" qui l'aideront à prendre place dans la société. La vie est plus précaire dans les familles ouvrières. Si la dignité est un moyen de supporté la pauvreté, elle n'évite pas la misère. Beaucoup d'enfants sont obligés de travailler à la mine ou dans les usines, dans des conditions très dures. Ce n'est que dans la seconde moitié du siècle que sont établies des lois qui règlementent le travil des enfants. La prise en charge de l'éducation de tous les enfants est réalisée par la Troisième République qui crée l'école publique gratuite, laïque et obligatoire. Celle-ci a entre autres pour buts celui de former de futurs citoyens...
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Nature du document : |
documentaire |
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Des enfants au dix-neuvième siècle
de Karine Delobbe
PEMF, 2000, 33 p. : ill. (Bonjour l'Histoire)
La Révolution française pose le principe de la prise en charge par la nation de l'éducation et de la protection de l'enfant. Mais les mesures prises sont sans effet. La Première République honore des enfants parmis ses héros. Le Code civil fonde la famille sur la toute-puissance paternelle, ce qui marque un retour à la tradition. Le dix-neuvième siècle est fortement marqué par la Révolution industrielle et la montée de la bourgeoisie. Si à la campagne la vie des enfants change lentement, il n'en est pas de même en ville. De grandes différences existent entres familles bourgeoises et familles ouvrières. Au sein des premières, l'enfant jouit d'un cadre matériel favorable ; aimé, voir choyé par les siens, il apprend les "bonnes manières" qui l'aideront à prendre place dans la société. La vie est plus précaire dans les familles ouvrières. Si la dignité est un moyen de supporté la pauvreté, elle n'évite pas la misère. Beaucoup d'enfants sont obligés de travailler à la mine ou dans les usines, dans des conditions très dures. Ce n'est que dans la seconde moitié du siècle que sont établies des lois qui règlementent le travil des enfants. La prise en charge de l'éducation de tous les enfants est réalisée par la Troisième République qui crée l'école publique gratuite, laïque et obligatoire. Celle-ci a entre autres pour buts celui de former de futurs citoyens...
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Delobbe Karine.
Des enfants au dix-neuvième siècle.
PEMF, 2000, 33 p. : ill.
(Bonjour l'Histoire).
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